Sandrine Leblanc
Une artiste qui donne à voir une peinture fine et sensible qui lui ressemble, empreinte d'équilibre de sérénité avec une sophistication toute féminine.
Le cercle, sa figure de prédilection qu'elle décline au gré des couleurs et des matières, se donne en un mouvemement continu rassurant, généreux. C'est le cercle de l'échange sans hiérarchie. Les demi-cercles qui meurent sur le coin de la toile suggèrent ce que l'on ne voit pas l'autre partie du cercle mais que l'on sait exister, c'est l'imaginaire dont l'artiste se nourrit qui est évoqué. Lorsque le carré fait parfois son apparition il est toujours temporisé par un cercle où par une
multitude de petits carrés qui se répondent en échos.
Un univers fait de contraste de matière et de volumes où toute la sensibilité de l'artiste est révelée.
Une artiste qui donne à voir une peinture fine et sensible qui lui ressemble, empreinte d'équilibre de sérénité avec une sophistication toute féminine.
Le cercle, sa figure de prédilection qu'elle décline au gré des couleurs et des matières, se donne en un mouvemement continu rassurant, généreux. C'est le cercle de l'échange sans hiérarchie. Les demi-cercles qui meurent sur le coin de la toile suggèrent ce que l'on ne voit pas l'autre partie du cercle mais que l'on sait exister, c'est l'imaginaire dont l'artiste se nourrit qui est évoqué. Lorsque le carré fait parfois son apparition il est toujours temporisé par un cercle où par une
multitude de petits carrés qui se répondent en échos.
Un univers fait de contraste de matière et de volumes où toute la sensibilité de l'artiste est révelée.
